4 raisons de supprimer son compte Facebook sur-le-champ

Bientôt, ce sera une nouvelle année qui débutera. Entre les sempiternelles résolutions de faire plus de sport ou de perdre les quelques kilos gagnés à Noël, pourquoi ne pas sortir des sentiers battus et en prendre une différente des 2 milliards d’utilisateurs actifs de Facebook? Voici une petite liste des raisons pour lesquelles vous devriez disparaître de Facebook sans plus tarder.

Il est mauvais pour votre santé

Trop… c’est trop! Une récente étude menée par Facebook a conclu qu’un usage soutenu quotidien des réseaux sociaux pouvait nuire à votre santé mentale. Ainsi, il suffirait de 10 minutes à consulter les pages de vos amis ou à regarder les photos des autres utilisateurs pour vous déprimer et vous mener à faire des comparaisons sociales négatives. En plus, l’étude n’a même pas spécifiquement tenu compte des personnes qui épient leur ex ayant l’air plus heureux avec leur nouvelle flamme et des autres qui s’attristent en regardant tous les partys auxquels ils n’ont pas été invités…

Il est chronophage

Entre le travail, les repas à préparer, la circulation, les devoirs à faire, le ménage… Il n’y a pas assez d’heures dans une journée pour tout faire? Et dire que Facebook est sans doute le plus grand grugeur de votre temps. Saviez-vous qu’en moyenne, les utilisateurs de Facebook consacrent 46 minutes par jour sur le réseau social? Imaginez sur un an… c’est l’équivalent de plus d’une semaine de vacances!

Il nuit à vos relations amicales

Vous êtes populaire! Non seulement vous pouvez vous vanter d’avoir 432 amis, mais vous êtes tout ce qu’on peut attendre d’une bonne amie : vous n’oubliez jamais un anniversaire (merci Facebook pour le rappel et la banque d’images pour agrémenter les souhaits), vous les complimentez dès lorsqu’ils publient un nouvel égoportrait et vous les félicitez lorsqu’ils annoncent qu’ils ont été promus… mais y’a—t-il quelqu’un pour venir vous donner un coup de main si vous déménagez ou avez perdu votre chat? Il a été démontré que plus les gens ont des amis et passent du temps sur Facebook, moins ils entretiennent leurs vraies relations d’amitié.

Il ment « comme un arracheur de dents »

Si c’est bien connu qu’on ne peut pas croire tout ce qu’on lit sur internet, il est sans doute encore plus vrai des nouvelles qui sont publiées sur Facebook. La désinformation, communément surnommée Fake news, est un véritable fléau si bien que le réseau social intègre désormais un outil de vérification des sources ayant été mis au point par un consortium de journalistes. Est-ce à dire que tout ce que vous lirez sur Facebook sera véridique? Hélas, non.

5 trucs rapides et efficaces pour repérer de fausses nouvelles

La diffusion de fausses nouvelles sur Internet et sur les réseaux sociaux est un véritable fléau. Tandis que Facebook et Google ont annoncé un partenariat pour mettre à jour les règles de leurs moteurs et ainsi vérifier l’exactitude des informations diffusées, Apple a lancé un appel aux entreprises du secteur technologique afin qu’elles créent de nouveaux outils pour lutter contre les fausses nouvelles. Mais comment les repérer et éviter de les propager? Voici notre petite liste de trucs rapides et efficaces pour éviter de tomber dans le piège des fausses nouvelles.

Avant de transférer, lisez!

Évidemment, la meilleure façon d’éviter la propagation de fausses nouvelles est de ne pas y contribuer. Ainsi, avant de partager une nouvelle, ne vous contentez pas de lire le titre. Prenez le temps de cliquer sur le lien et de consulter l’article en entier. Si cela semble aller de soi, une récente étude menée par l’université Columbia et l’Institut national de recherche en informatique et en automatique a démontré que 59 % des internautes partageaient des nouvelles sur Twitter après avoir lu le titre, sans même avoir consulté la nouvelle. Parfois, simplement en lisant une nouvelle, il est facile de remettre en question sa véracité.

Allez à la source

On ne peut pas croire tout ce qui est écrit sur Internet. Avant de prendre part à la désinformation, vérifiez de quels sites proviennent les nouvelles. Est-ce une source fiable? D’abord, vérifiez l’adresse URL complète du site que vous consultez et soyez alertes! De nombreux sites web diffusant de fausses nouvelles essaient d’être crédibles en utilisant un nom similaire à celui d’un site sérieux, pensons notamment à abcnews.com.co qui emprunte l’identité du site américain reconnu abcnews.go.com. Ne confondez pas les vrais sites de nouvelles avec ceux qui affichent ouvertement faire de la satire, comme The Onion. Enfin, jetez un œil à l’auteur de la nouvelle. Si l’auteur est Paul Horner et que vous cherchez son nom en ligne, vous découvrirez rapidement qu’il est un auteur de fausses nouvelles bien connu…

Gardez l’œil ouvert sur les photos

Les sites de fausses nouvelles ont souvent recours à des photos en provenance de vrais articles ou d’autres pages internet pour agrémenter leur faux article. Il est facilement possible de savoir si c’est le cas. Si vous utilisez le navigateur Google Chrome, faites un clic droit sur l’image désirée avant de sélectionner « rechercher une image avec Google ». En lançant une recherche dans Google Images, vous pourrez voir les autres sites sur lesquels l’image apparaît et surtout, dans quel contexte. Si une image vaut mille mots, imaginez ce que peut dire une image sortie de son contexte…

Jouez à l’avocat du diable

Est-ce que le pape François a vraiment donné son appui à Donald Trump lors des élections américaines? Plutôt que de croire tout ce que vous lisez ou de jouer aux devinettes, faites-vous plutôt l’avocat du diable. D’abord, effectuez une recherche sur un moteur de recherche tel que Google pour savoir si des sites fiables rapportent la même information ou si la nouvelle a été démentie. Il est également possible de consulter des outils en ligne, notamment Les décodeurs et Snopes, des sites créés dans le but d’informer les internautes et ainsi freiner la propagation de rumeurs infondées.   

Portez attention aux citations  

Les fausses nouvelles incluent souvent des citations inventées ou utilisées hors contexte pour sembler plus vraies. Portez donc une attention particulière aux citations… ou si elles brillent par leur absence. Faites une recherche sur la citation en question et si aucune source fiable n’en fait mention ou si le contexte est différent, posez-vous des questions sur la véracité des propos rapportés. Méfiez-vous également si vous lisez une nouvelle scientifique et qu’aucun chercheur n’est cité ou que le terme générique « selon une source » est employé.

6 anecdotes à propos de la NASA que vous ignoriez

Dans une semaine et quelques poussières, la NASA célèbrera son 61e anniversaire. En effet, c’est le 1er octobre 1958, un an après le lancement par les Soviétiques de Spoutnik 1, le premier satellite artificiel de la Terre, que la NASA devient officiellement opérationnelle. Acronyme signifiant National Aeronautics and Space Administration, l’agence nationale de l’aéronautique et de l’espace regroupe une vingtaine de centres de recherche. Connaissez-vous bien cette agence qui soufflera ses 62 bougies? Petite liste d’anecdotes à propos de la NASA que vous ignoriez.

La NASA a fait voyager The Beatles

Afin de souligner son cinquantième anniversaire, la NASA a transmis le 4 février 2008 à 00 h 00 UTC à destination de l’étoile Polaire, la chanson Across the Universe du groupe britannique The Beatles. Le succès des Fab Four qui voyage à la vitesse de la lumière, soit 299,792 km à la seconde, sera audible 431 ans après son émission par un éventuel auditeur possédant le matériel adéquat.   

La NASA est parfois dans la lune

Il peut arriver à tout le monde d’être dans la lune. En août 2006, la NASA avoue avoir égaré de nombreux documents, dont l’enregistrement vidéo original des premiers pas de Neil Armstrong sur la lune lors de la mission Apollo 11, et lance officiellement des recherches pour récupérer les documents historiques. L’équipe chargée de les retrouver a affirmé que les bandes magnétiques avaient été effacées et réutilisées pour des raisons d’économie. Par chance, des versions numérisées du célèbre évènement ont pu être réalisées à partir d’archives télévisées.

La NASA a du flair

George Aldrich n’a pas un emploi comme tout le monde. Depuis plus de 40 ans, il met son nez au service de la NASA et sent toutes les choses qui sont sur le point d’être envoyées dans l’espace. Grâce à son odorat, Aldrich, qui se qualifie lui-même de « Nostril Damus », peut déterminer quel produit est autorisé à quitter le sol terrestre et ainsi éviter que les astronautes ne soient incommodés par une odeur désagréable une fois dans l’espace.

La NASA a ses propres nuages

Le Vehicule Assembly Building est un bâtiment situé en Floride qui a été construit dans les années 60 pour permettre l’assemblage des étages de la fusée Saturn V. Le VAB est si immense, il mesure 160 mètres de haut, qu’il possède son propre climat. Ainsi, lors de jours de pluie, il peut s’accumuler suffisamment d’humidité dans le VAB pour former des nuages et même pleuvoir. Le bâtiment est donc muni d’un puissant système de ventilation permettant de renouveler en une heure, les 3 664 883 m3 d’air.

La NASA a un indicatif régional qui décolle  

Depuis le 1er novembre 1999, suite à une pétition initiée par le résident Robert Osband, l’indicatif régional du comté de Brevard dans l’État de la Floride est le « 321 ». Faisant référence au compte à rebours utilisé avant un lancement, l’indicatif régional « 321 » est notamment celui de la Space Coast, la région qui s’étend autour du centre spatial Kennedy, dont cap Canaveral.

La NASA est victime de préjugés

Au début de l’année, pour la première fois au cours des 6 dernières années, les deux chambres du Congrès américain ont approuvé et voté en faveur du projet de loi concernant le financement de la NASA. Ainsi, une enveloppe de 19,5 milliards de dollars USD a été octroyée à l’agence nationale de l’aéronautique et de l’espace, soit approximativement 0,5 % du budget fédéral total. C’est infiniment moins que la croyance populaire. Selon un récent sondage effectué auprès de résidents américains, plus la majorité des répondants croyaient que 20 % du budget total était consacré à la NASA.  

Reprenez le contrôle! 4 façons de vaincre les distractions numériques

Communiquer avec notre meilleur ami en Australie, payer ses factures, magasiner les billets d’avion les moins chers… la technologie nous facilite la vie au quotidien et nous aide à être plus productifs. Hélas, si elle permet de gagner du temps, elle en dévore aussi beaucoup. Vous avez du mal à effectuer vos tâches sans constamment vérifier votre page Facebook, lire vos courriels personnels ou jeter un œil aux nouvelles publications sur Twitter? Consultez sans plus tarder notre petite liste pour vaincre les distractions numériques.

Limitez les distractions

Vous êtes passés maîtres dans l’art de faire deux choses en même temps. Que ce soit de répondre à vos courriels en même temps que vous êtes au téléphone ou de jeter discrètement un œil aux notifications reçues sur votre téléphone alors que vous discutez avec un collègue, vous excellez dans le multitâche. Vraiment? Selon une récente étude publiée par l’American Psychological Association, le multitâche pourrait gaspiller jusqu’à 40 % du temps productif d’une personne tandis que moins de 2 % de la population serait efficace lors de la commutation des tâches. Ainsi, évitez la multiplication de fenêtres et programmes ouverts sur votre ordinateur et mettez de côté votre téléphone si vous utilisez votre tablette. Bref, soyez productifs, ne faites qu’une chose à la fois!

 

Imposez-vous des limites

S’il vous impossible de vivre sans technologie, pensez à vous imposer des limites. Par exemple, répondez à vos courriels professionnels uniquement du lundi au vendredi entre 8 h et 19 h, remisez votre téléphone pendant les repas en famille, consultez votre page Facebook uniquement sur l’heure du dîner et cessez d’utiliser votre tablette au moins 60 minutes avant l’heure du coucher. Vous manquez de volonté et dérogez facilement à vos propres règles? Optez pour un service comme Freedom qui, tel un contrôle parental version adulte, bloquera l’accès aux sites que vous aurez choisis, le temps que vous voudrez sur tous les appareils que vous aurez sélectionnés.

 

Freinez l’arrivée d’information

Si les notifications et les infolettres de tout genre nous permettent d’être à l’affût des dernières actualités ou d’un solde exceptionnel dans notre boutique préférée, elles sont aussi de grandes perturbatrices de notre attention qui arrivent sans crier gare. Pour éviter de céder à la tentation, limitez les notifications et les abonnements aux infolettres! Vous désirez faire rapidement le ménage des courriels promotionnels qui s’accumulent inutilement dans votre boîte de réception? Unroll.me est le service Web tout indiqué pour se désabonner rapidement des envois indésirables. Simple d’utilisation, Unroll.me dresse une liste de toutes les infolettres auxquelles vous êtes abonnés, et vous permet de les gérer sans difficulté. Après tout, c’est le printemps, pensez ménage!

 

Coupez-vous du monde

Comme les piles de vos appareils électroniques, votre cerveau a besoin de se recharger! Ainsi, faites le plein d’énergie en vous allouant des pauses sans technologie. Pensez à vous aérer le cerveau quelques minutes à l’extérieur, installez-vous dans une pièce sans écran pour terminer la lecture d’un rapport important ou encore, éteignez votre téléphone pendant vos réunions, mais surtout pendant vos vacances dans le sud. Imaginez, pour une fois, ne pas vous endormir ni vous réveiller avec l’écran de votre téléphone…

Connaissez-vous bien les émojis? 6 choses que vous vous devez de savoir

Bonhomme avec lunettes de soleil qui sourit, bouquet de fleurs, tacos… Vous utilisez régulièrement les émojis pour agrémenter vos publications sur Twitter, pour faire rire dans vos textos, ou encore simplement parce qu’ils sont mignons aux côtés de votre photo sur Instagram. Mais que savez-vous sur ces petits pictogrammes colorés et ludiques? Voici une petite liste des choses que vous vous devez de connaître à leur sujet.

Ils possèdent leur journée officielle

Tout comme la femme, la paix, les pâtes et la Terre, les émojis possèdent leur journée internationale. Le World Emoji Day, qui se tient le 17 juillet, vise à célébrer l’utilisation mondiale des fameux pictogrammes. Le choix de cette date n’est pas le fruit du hasard. C’est le 17 juillet 2002, lors de l’exposition Macworld, qu’Apple a annoncé la sortie d’iCal, un nouveau gestionnaire d’emploi du temps.

Ils viennent de loin

Les émojis sont nés au Japon à la fin des années 90. Confrontée à un problème de poids parce que les abonnés utilisaient de plus en plus de messages photos, l’entreprise NTT DoCoMo invente les émojis afin de transformer un émoticon en image et donc, de consommer moins de données. Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’ils prendront véritablement leur envol lorsqu’en 2011 Apple les intègre à son système d’exploitation, avant qu’Android emboite le pas en 2013. Aujourd’hui, on estime que 90 % de la population mondiale présente en ligne utilise les émojis.

Il s’agit d’un nouveau langage

Moby Dick est un classique de la littérature américaine. Écrit en 1851 par Herman Melville, le livre a été traduit dans de nombreuses langues, dont le français, l’allemand, l’italien, le russe et en émojis. Emoji Dick de Fred Benenson est paru en 2010 après une campagne de financement participatif réussie sur la plateforme Kickstarter. Il est possible de se procurer la version en noir et blanc pour environ 40 $ ou l’édition de luxe couleur pour 200 $.

Leur création n’est pas une mince affaire

Tout pictogramme n’est pas appelé à devenir un émoji. En effet, tous les dessins doivent être soumis et approuvés par le Unicode Consortium, un organisme à but non lucratif qui unifie et standardise lettres et symboles sur les différentes plateformes afin de s’assurer que tous les appareils peuvent correctement afficher les images envoyées d’un système à un autre. La version 9.0.0., lancée en juin dernier, a intégré 72 nouveaux émojis, dont la femme enceinte, le kiwi et celui désignant l’égoportrait.

Les adeptes d’émojis ont une vie sexuelle plus active

Selon une récente recherche réalisée par le site de rencontres Match.com, les personnes qui agrémentent leurs messages d’émojis auraient une vie sexuelle plus active et auraient 2 fois plus de chances de se faire demander en mariage que ceux qui ne les utilisent pas. Selon le docteur Helen Fisher, anthropologiste à l’université Rutgers qui a collaboré à l’étude, les résultats en faveur de l’utilisation des émojis s’expliqueraient par le fait que les adeptes d’émojis expriment davantage ce qu’ils ressentent et considèrent la communication comme un élément essentiel d’une relation durable.

Ils sont dans le dictionnaire

En août 2013, le terme « Emoji » a fait son entrée dans l’Oxford Dictionaries. Le célèbre ouvrage le décrit comme «A small digital image or icon used to express an idea or emotion», soit une petite image ou icône numérique servant à exprimer une idée ou une émotion. En 2015, le grand dictionnaire Oxford lui décerne le titre du mot de l’année.

Soyez prudents! 5 informations que vous ne devriez jamais divulguer sur les réseaux sociaux

Vous êtes un adepte des réseaux sociaux. Ils vous permettent de rester en contact avec vos amis, qu’ils soient proches ou non, d’échanger avec des gens qui ont les mêmes intérêts… Vous y partagez vos états d’âme, vos photos de voyage et les événements heureux comme votre nouvel emploi ou l’arrivée de la cigogne… Et si vous étiez un livre trop ouvert? Voici une petite liste des informations que vous ne devriez jamais divulguer sur les réseaux sociaux.

 

Mot de passe et indices

Évidemment, il va de soi qu’il faut s’abstenir de dévoiler ses mots de passe sur les différents réseaux sociaux. Mais encore, évitez de divulguer des informations qui pourraient faciliter le travail de quiconque voudrait s’introduire dans vos affaires. Outre le fait de vous vanter que tous vos comptes en ligne ont le même mot de passe, abstenez-vous de mentionner le nom de votre premier animal de compagnie, votre date de naissance, la ville où vous avez grandi… toutes des réponses aux questions habituelles lorsque vous avez oublié un mot de passe… Et si ce n’était pas vous qui le réinitialisait ?

 

Commentaires négatifs ou irréfléchis

Comme le veut l’adage, les paroles s’en vont… les écrits restent! Ainsi, vous ne devriez jamais rien écrire de désobligeant sur votre ancien patron, votre ex petit copain, une compagnie pour laquelle vous avez déjà travaillé… Vous devriez également vous abstenir de publier vos états d’âme après une soirée arrosée ou dans un moment de colère. Certaines personnes l’ont appris à leurs dépens, comme la bloquiste VirJiny Provost qui est devenue une cible de moquerie pour avoir publié qu’elle apporterait « son cell, un pénis et ben des chips » ou encore, la candidate libérale Ala Buzreba qui a remis sa démission pour avoir publié des commentaires insultants 4 ans plus tôt sur Twitter.

 

Les chiffres

Soyez vigilants avant de partager des chiffres. Aucuns numéros de téléphone, de cartes de crédit et de comptes bancaires ne devraient jamais être publiés sur les réseaux sociaux. Pas plus que votre salaire, l’adresse de votre domicile et celle de votre lieu de travail.

 

Vos allées et venues

Vous êtes totalement excités à l’idée d’être dans le sud pendant les vacances de Noël ou de passer un séjour en amoureux dans les Cantons-de-l’Est, mais avez-vous vraiment envie que toute la toile soit au courant que votre domicile sera sans surveillance du 3 au 6 novembre? Selon une récente étude réalisée par Kiwatch, une entreprise spécialisée dans la vidéosurveillance, 95 % des femmes et 53 % des hommes publieraient des photos de leurs déplacements. Vous pouvez certes partager vos souvenirs de voyage, ou demander des conseils à votre réseau sur une destination précise, mais avant de le faire, assurez-vous que les paramètres de sécurité de votre compte correspondent au public que vous avez choisi. Contrôlez votre visibilité!

 

Les photos de vos enfants

Qui ne craquerait pas devant une photo de votre fils de 5 ans tout souriant dans son uniforme scolaire? Bien que ce geste semble anodin, la publication de photos expose vos enfants à la vue de tous. D’ailleurs, selon un récente étude, 40 % des profils Facebook seraient visibles de tous. Voulez-vous vraiment que tout le monde soit au courant que votre garçon fréquente telle école et que son meilleur ami se prénomme Mathias? Jay Parikh, vice-président de l’ingénierie chez Facebook, a récemment donné une conférence au sujet de l’importance de sauvegarder la vie privée des mineurs sur le réseau. Il a notamment évoqué la mise en place d’une notification servant à alerter les parents lorsque ceux-ci publient des photos de leur progéniture sur un profil public. Enfin, est-ce que votre enfant, une fois adulte, sera content de voir toute sa vie en images étalée sur la toile? En Autriche notamment, une adolescente a d’ailleurs poursuivi ses parents en justice pour avoir publié 500 photos de son enfance sans son consentement…

6 sujets de conversation pour se dépanner lors de soupers ennuyeux

Si être rassemblés autour d’une table est agréable et laisse souvent place à de palpitantes conversations, ce n’est hélas pas toujours le cas. Entre l’habituel questionnement sur ce qu’il y a de nouveau dans votre vie et les remerciements pour l’invitation, il y a parfois que des silences. Voici une petite liste de sujets de conversation qui ne pourront qu’égayer vos soupers ennuyeux.

 

La famille royale

Source intarissable de sujets, la famille royale trouve sa place dans le cœur des jeunes, qui commenteront la robe de mariée de Meghan, et des moins jeunes qui parleront d’Elizabeth mère ou du complot entourant la mort de Diana. Enfin, tous les abonnés Netflix pourront faire leur critique de The Crown.

 

Le début de l’étincelle

Règle générale, les gens aiment qu’on s’intéresse à eux. Que ce soit un nouveau couple, ou des grands-parents qui célèbreront leurs noces d’or prochainement, il y a fort à parier qu’ils aimeront parler de la façon dont ils ont rencontré leur âme sœur. Posez-leur des questions s’ils se rappellent de ce qu’elle portait, de la chanson qui jouait… parions qu’ils en auront long à raconter. Vous trouvez le sujet ennuyant? Consolez-vous, c’est toujours mieux qu’un silence inconfortable.

 

Autour d’une table… parler de nourriture

Comme mise en bouche, il peut être délicat de commenter positivement le repas, de questionner sur la délicieuse épice prédominante (si vous êtes certain qu’il s’agit d’un met cuisiné maison) ou de s’attarder à la jolie présentation. Qui n’aime pas se faire flatter dans le sens du poil? Pour avoir la tête remplie d’idées, consultez le livre À la table des philosophes de Normand Baillargeon qui propose de nombreux sujets pour débattre, idéalement la bouche vide.

 

Les prix

Si vous entendez les mouches volées, mieux vaut parler de prix. Certes pas un sujet des plus palpitants, mais il a fait ses preuves. Ainsi, insurgez-vous contre le prix exorbitant de l’essence ou de la hausse du panier d’épicerie prévue en 2018. Il faut néanmoins éviter d’aborder le prix de notre voiture, de notre récent voyage dans les Bermudes ou du superbe bijou hors de prix que l’on s’est offert.

 

La circulation

« Les routes étaient belles ? », voilà un début de conversation qui mettra un souper silencieux sur la bonne voie. Le trafic, les routes agrémentées de cônes orange, l’avancement de la construction du pont Champlain, les rues mal déneigées… voici un nombre incalculable de sous-catégories de sujets qui alimenteront, pendant un certain temps, les conversations.

 

Donald Trump

Aux grands maux les grands moyens… si après avoir tenté, sans succès, d’intéresser les convives à tous les sujets énoncés précédemment, il vous reste à parler de Donald Trump. Sans doute à éviter si vous êtes entourés d’Américains, le président américain est ici un sujet passe-partout. Que ce soit des élections de mi-mandat, du mur entre les États-Unis et le Mexique, de sa coupe de cheveux, de ses propos sur les réseaux sociaux… vos convives pourront facilement se joindre à la conversation, ne serait-ce qu’en s’appropriant des propos entendus ou lus ailleurs.

Applis incontournables pour occuper les enfants en vacances

L’école est pratiquement terminée et les vacances d’été se montrent enfin le nez. Mais entre les jours de pluie, les trajets en voiture qui semblent interminables et les chicanes entre frère et sœur, les enfants s’ennuient et trouvent parfois le temps long? Et si vous les occupiez de façon amusante et intelligente…Voici notre petite liste des applications incontournables pour divertir les enfants, éviter que leur cerveau se ramollisse… et vous donner une pause!

Petites choses (2 à 4 ans)

Particulièrement adaptée aux plus jeunes utilisateurs de tablettes, l’application Petites choses invite les enfants à plonger dans un univers poétique unique aux graphismes soignés entièrement faits à la maison. Sur une trame sonore douce, envoûtante et originale, les tout-petits partiront à la recherche des clés qui pourront libérer l’oiseau-lyre de sa cage. Jeu d’une qualité exceptionnelle faisant écho au poème de Jacques Prévert, Petites choses est sans contredit un grand jeu.   

Plateformes : Android (1,97 $), iOS (2,79 $)

Dr. Mario World (pour tous)

Grand classique remis au goût du jour pour les appareils mobiles, Dr. Mario World est un jeu de réflexion dont l’expérience de jeu n’est pas sans rappeler Tetris. Si dans cette nouvelle mouture les joueurs devront toujours aligner 3 gélules de la couleur correspondante au virus pour le vaincre, il n’y aura pas que Mario qui revêtira l’habit de docteur. En effet, les compagnons de longue date du plombier : Toad, Yoshi, Peach et Bowser, seront des personnages jouables possédant chacun leur propre habileté spéciale.

Gratuit

Plateformes : Android, iOS

Slice Fractions (5 à 12 ans)

Alliant avec intelligence le divertissement et l’apprentissage, Slice Fractions propose de découvrir le mystère des fractions. Par le biais de tableaux progressifs, les enfants devront aider un mammouth à se frayer un chemin en jouant avec les volumes et les chiffres. Lauréat de plusieurs prix, Slice Fractions a été développée avec l’appui de l’Université du Québec à Montréal, laquelle a réalisé une étude démontrant une amélioration significative de la performance des utilisateurs. Avec son univers attachant et expérience de jeu captivante, Slice Fractions ne fait pas dans la demi-mesure.

Plateformes : Android (gratuit), iOS (5,49 $)

J’aime les patates (à partir de 7 ans)

Vivre une merveilleuse aventure tout en apprenant les bases du changement social et du développement durable ? C’est la promesse que tient J’aime les patates. Alors que toutes les patates disparaissent et que les villageois de Potatoland se sentent démunis et ne savent plus quoi faire pour survivre, les enfants devront aider Chips à se faire davantage d’amis et à travailler rapidement. Ensemble, ils devront trouver de nouvelles solutions à de vieux problèmes et sauver la communauté. Encourageant la collaboration entre famille et amis pour atteindre un objectif commun, J’aime les patates est un jeu captivant et humoristique qui intègre habilement une mission éducative.

Gratuit  

Plateformes : Amazon, Android, iOS

The Infinite Arcade (à partir de 7 ans)

Une jeu de plateforme truffé de zombies et de geysers de cristal, un flipper avant-gardiste ou encore, un Pac-Man de pieuvre? Un monde de possibilités s’ouvrira avec The Infinite Arcade, l’application permettant d’élaborer ses propres œuvres vidéoludiques.  Les concepteurs de jeux vidéo en devenir s’amuseront à inventer de nouveaux personnages dont eux seuls peuvent décider du nombre de vie qu’ils possèdent, à ajouter des effets sonores comme des huées, et intégrer des obstacles afin d’obtenir le jeu unique auquel ils ont toujours rêvé de jouer. Casse-tête simple ou jeu d’action complexe? Parents, enfants et amis pourront échanger leurs créations, les tester et se mettre au défi de les réussir. Avec The Infinite Arcade, la partie est loin d’être terminée!

3,99 $

Plateforme : iOS

4 cocktails pour tenir le coup pendant les Fêtes

Café de Noël

Même s’il est midi quelque part dans le monde, il peut sembler inapproprié de siroter un cocktail avant d’avoir pris votre premier café du matin. Joignez l’utile à l’agréable et optez pour un café de Noël! Rapide à concocter et presque qu’incognito, cette boisson réchauffera votre cœur tout en vous fournissant votre dose de caféine nécessaire pour bien amorcer votre journée. Mélangez votre boisson matinale préférée avec un peu de Bailey’s, d’amaretto ou de cognac et dégustez! Envie d’une petite gâterie gourmande? Il suffit d’y ajouter une petite touche de crème fouettée…

 

Cidre chaud

Parfait après une randonnée en raquette ou nécessaire après une virée de magasinage à la recherche du cadeau parfait pour votre grand-mère, le cidre chaud est de saison, réconfortant et délicieux. Comment réaliser une boisson parfaite? Laissez-vous inspirer par la concoction de Monsieur Cocktail qui combine cidre tranquille, gin, Tonic québécois, sirop d’orange, clou de girofle et cannelle.

Cinzano

Grand classique, le Cinzano n’a rien à envier aux alcools présentés dans de plus jolies bouteilles. Rapide à servir quand le besoin se fait sentir, allié des grands classiques de la mixologie comme le Rob Roy et le Manhattan, le Cinzano charme par sa versatilité et son goût unique. Autre point en sa faveur? Cette boisson à base de vin rouge ne risque pas de s’oxyder si vous ne buvez pas l’entière bouteille dans les jours suivant son ouverture.

 

Miracle sur la 35e

Élaboré pour La Presse par Lori Chiaradia, assistante-gérante du bar Le Royal qui s’est classée pour la finale régionale du concours Made with Love, Miracle sur la 35 e est un cocktail aux épices de Noël qui se boit aussi bien à l’apéro qu’au dessert. Vous transformant illico en Tom Cruise du film Cocktail, cette concoction épatera vos convives tout en réchauffant l’ambiance. Dans un shaker, mélangez du rhum brun, de l’Aperol, du jus de citron, un blanc d’œuf, du sucre, de l’Angostura et un peu de cannelle et voilà!

3 choses pour lesquelles vous n’étiez pas encore prêts

Parfois, il y a des choses qu’il vaut mieux ne jamais voir, des idées qui sont meilleures jamais concrétisées. Voici une petite liste de trois choses pour lesquelles vous n’étiez pas prêts… (et ne le serez sans doute jamais).

 

Le retour des Backstreet Boys

Inutile de vous pincer; ce n’est pas un rêve. Les Backstreet Boys sont de retour! Après avoir privé leurs fans de nouveau matériel pendant près de 5 ans, le populaire groupe des années 90 est de retour avec un nouvel album DNA, disponible en janvier prochain. Question d’aider ses groupies à prendre leur mal en patience, le groupe vient de lancer son single Chances, accompagné d’un vidéoclip coréalisé par A. J. McLean. Les chances sont que vous restiez bouche bée.

 

Le manque de soleil

Est-ce que le changement d’heure a encore sa place en 2018? Certes, si le fait de reculer l’heure la semaine dernière a permis de bénéficier d’un 60 minutes additionnel pour dormir, paresser ou encore, vaquer à ses corvées, étions-nous pris à sacrifier 1 heure de luminosité toutes les fins d’après-midi? Courage! Comme le solstice d’hiver a lieu le 21 décembre, il y aura rapidement de la lumière au bout du tunnel… ou plutôt de la journée.

 

Nouvelle et dernière saison de House of Cards

Est-ce qu’une sixième et dernière saison de la série House of Cards était nécessaire? Jadis figure de proue de Netflix, la série n’a cessé de voir sa qualité diminuée de saison en saison. Excluant le personnage de Frank Underwood (pour des raisons évidentes) et se concentrant sur celui de Claire, la série ne réussit pas à tirer sa révérence avec classe. Est-ce que quelqu’un aurait trop étiré la sauce? Il faut dire qu’il s’agit d’une adaptation de la série britannique homonyme qui elle, ne comportait que 4 épisodes de 55 minutes chacun.

Bref, c’est ce qu’on peut qualifier de commencer en lion…